Côté TV et autres écrans

• Retarde voire limite le développement de l’enfant dont le langage : multiplie jusqu’à 6 fois les risques
• Augmentation des risques d’échec scolaire chez l’adolescent
• Sédentarité = obésité, maladies cardiaques, AVC, addiction, isolement social, etc.
• Exposition aux pollutions de l’air intérieur
• Exposition à la lumière artificielle = décalage horloge biologique ; troubles du sommeil
• Intérieur = environnement pauvre et peu stimulant pour l’enfant (quelques dizaines d’objets et de couleurs seulement)

Côté nature

• Activité physique = diminution de l’obésité et des maladies cardio-vasculaires
• Environnement riche (et vivant) : stimule le cerveau
• Air extérieur de qualité = moins d’allergies ; meilleur système immunitaire
• Lumière naturelle = horloge biologique respectée ; meilleur sommeil

Double peine
Quand on est devant la télévision, on n’est pas en pleine nature. C’est donc la double peine puisqu’on s’expose à la fois à un environnement nocif et on se prive en même temps d’un environnement bénéfique...

Écrans interdits avant 3 ans
Aussi intéressants et pédagogiques que puissent être certains dessins animés ou reportages, il convient de s’interdire d’exposer nos enfants de moins de 3 ans aux écrans. C’est en effet pendant les trois premières années de sa vie qu’un individu construit et organise son cerveau. En étant exposé aux écran, un enfant voit augmenter ses risques de présenter des troubles de l’apprentissage : retard du langage, etc.

20 min c'est déjà trop
Ce qui met le cerveau d’un enfant en route pour apprendre quelque chose, c’est la surprise : un nouvel objet, une nouvelle couleur, un mouvement, un son, un changement d’intonation dans la voix, etc. Un dessin animé change de scène toutes les 3 à 5 secondes et provoque ainsi la surprise et l’attention de nos bambins. Ce n’est donc pas étonnant de les voir « scotchés » devant la télé, les yeux écarquillés !
Le problème est que dès 20 minutes de télévision, l’enfant a épuisé son capital quotidien d’ «effet surprise» déclenchant le mécanisme d’apprentissage. A partir de ce moment-là, il n’est plus en capacité d’être attentif pour le restant de la journée. Cela se traduit par une hyperactivité ou, au contraire, une fatigue physique extrême avec de la somnolence.

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